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Nice : le bilan, après un trimestre de Claude Puel


Claude Puel (entraineur de l'OGC Nice)

Après trois longues années passées à l’Olympique Lyonnais suivie d’une année sabbatique, Claude Puel a fait un choix qui a du en surprendre plus d’un en signant à l’OGC Nice pour bâtir un nouveau projet. Loin de moi l’envie de revenir sur le bilan du castrais dans le club de Jean-Michel Aulas, sanctuaire sacré où Claude Puel est l’objet de tous les rites vaudous comme s’il était l’incarnation de Lucifer sur la planète Terre. Non rien de tout ça, cet article a pour but de revenir sur les premiers mois de Claude Puel à Nice et de la mise en place du projet.

Après sa victoire au Stade de Gerland à l’issu de la 38ème journée de Ligue 1 2011/2012 (Lyon 3-4 Nice), l’OGC Nice termine la saison à la treizième place avec quarante-deux points soit quatre petits points de plus que le premier relégable c’est-à-dire le Stade Malherbe de Caen.
Malgré un bon intérim de René Marsiglia (moyenne de 1,24 points/match) qui avait remplacé Eric Roy en novembre 2011, Jean-Pierre Rivère (président de l’OGC Nice) a décidé de ne pas renouveler le contrat de l’ancien arrière gauche et capitaine de l’OGC Nice du début des années 90. Le président niçois croit au potentiel niçois et a besoin d’un homme compétant et capable de mener à bien ce projet, pour reprendre ses mots : « On a un gros chantier. On a un gros potentiel à Nice. Les infrastructures arrivent, le grand stade c’est juin 2013, précise le président niçois. On a besoin de plus de rigueur, de professionnalisme. On a besoin de structurer ce club. Il faut des fondations, des gens capables, il faut aller chercher les bonnes personnes.»
Qui pour mener à bien ce projet ? Libre de tout contrat depuis un an, lui aussi a joué en côte d’Azur, lui aussi était arrière gauche dans les années 90 et lui aussi était capitaine de son équipe mais de l’éternel rival à l’AS Monaco : c’est officiel, Claude Puel est nommé entraineur de l’OGC Nice le 23 mai 2012.
Choix surprenant quand on regarde le palmarès de Claude Puel (Champion de France, Demi-finaliste de la Ligue des champions mais aussi joueur emblématique du voisin monégasque) mais pas tant que ça quand on connait le bonhomme. En effet, Claude Puel est un entraineur qui exerce son métier avec le plus grand professionnalisme possible. C’est un amoureux du football qui aime les défis, être le bâtisseur et le meneur d’un projet ambitieux ne lui fait pas peur surtout quand lui montre qu’on lui fait confiance comme cela à pu être le cas au Lille OSC. C’est pour ces raisons qu’il a accepté la proposition de Jean-Pierre Rivère. Et sa première mission fut la gestion (délicate) du mercato.

Claude Puel : « je suis satisfait de ce marché ».

Nice - Mercato d'été 2012

Tableau des transferts de l’OGC Nice (source : LFP.fr)

Lors de ce mercato d’été, Claude Puel s’est attaché à renouveler son effectif malgré le peu de moyens dont il disposait. En effet le Gym accusait un déficit d’environ neuf millions d’euros et le club faisait l’objet d’une mesure d’encadre de se masse salariale et des indemnités de transfert de la part de la DNCG (Direction Nationale de Contrôle et de Gestion). Il a donc fallu la jouer finement et le club a enregistré cet été neuf arrivées (dont un retour de prêt) et treize départs pour une balance positive d’environ 6M€. Cet été l’OGC Nice a perdu notamment trois joueurs cadres : Fabian Monzon (jugé pas assez performant défensivement), Anthony Mounier et Eric Mouloungui. Mais Claude Puel a su être malin en recrutant de nombreux joueurs libres (Joris Delle, Romain Genevois, Timothy Kolodziejczak, Eric Bautheac, Kevin Diaz), en relançant Mahamane Traoré de retour de prêt ou en se faisant prêter Valentin Eysseric. Au final l’OGCN Nice n’a déboursé « que » 3,4M€ pour Dario Cvitanich (en provenance de l’Ajax Amsterdam) et Jérémy Pied (en provenance de l’Olympique Lyonnais).

Globalement, Claude Puel est satisfait de son mercato d’été même s’il aurait surement apprécié de se séparer de David Ospina (car il avait déjà anticipé son remplacement en la personne de Joris Delle) et recruter Clément Grenier de l’Olympique Lyonnais. Même si dans la transaction Pied-Monzon, les supporters niçois se sentent lésés au niveau des indemnités de transfert, Claude Puel a tout de même réussi à remplir l’objectif qui était fixé c’est à dire diminuer la masse salariale tout en renouvelant l’effectif avec des jeunes joueurs à potentiel et pouvant s’inscrire dans le projet niçois avec une balance nettement positive pour combler le déficit.

Nice - Debut de saison difficile

Claude Puel remobilise ses troupes

Un début de saison difficile

Que vous possédiez 100M€ ou 5M€, construire une équipe en renouvelant une grande partie de l’effectif reste toujours une tâche très complexe à effectuer. La première mission de Claude Puel a donc été de créer un collectif, une équipe. Les premiers matchs de l’OGC Nice n’ont pas été mauvais dans le contenu mais l’équipe azuréenne a peiné au début de ce premier trimestre. En effet, si on exclu les cas désespérés de ce premier trimestre (l’AS Nancy et l’ESTAC), le seul club azuréen de l’élite fait parti des équipes qui ont remporté le moins de victoires cette saison (seulement 3 victoires en 13 matchs). Alors certes la dernière très belle victoire niçoise face au Toulouse FC permet au club de pointer à la 11ème place mais on sent que cette équipe peut faire mieux et qu’elle va mieux faire car on entrevoit petit à petit une équipe qui prend forme. En effet, si l’OGC Nice a du mal à remporter des victoires c’est aussi une équipe qui est très difficile à battre : seulement trois défaites. Seules les équipes du trio de tête (respectivement l’Olympique Lyonnais, les Girondins de Bordeaux et le Paris Saint-Germain) font mieux. C’est donc cette capacité de pouvoir arracher ou à conserver le point du match nul (l’OGC Nice est l’équipe qui réalise le plus de matchs nuls, sept au total) qui fait de cette équipe un adversaire coriace pour ses opposants.

De plus si on regarde les statistiques, malgré la réputation de bétonneur qu’on aime bien accorder à Claude Puel, on remarque qu’en terme de possession de balle l’OGC Nice se place comme la 4ème meilleure équipe de L1 avec une moyenne de 53% de possession de balle soit une meilleure moyenne que le Paris SG, l’Olympique de Marseille, l’AS Saint-Etienne, le Valenciennes FC ou le FC Lorient. De plus, l’OGC Nice dispose de la 8ème meilleure attaque de L1. Et ceci, elle le doit en grande partie à l’argentin Dario Cvitanich qui a marqué 5 buts lors de ses 10 titularisations en L1. Avec un but toutes les 154 minutes, il possède un ratio supérieur à des joueurs tels que son compatriote Lisandro Lopez , le turc Mevlüt Erdinç ou encore le bordelais Yoan Gouffran. La réussite de l’OGC Nice va grandement dépendre de l’argentin cette saison et il a les cartes en main pour réussir car il ne risque pas cette fois d’avoir un Luis Suarez dans les pattes pour lui prendre sa place.
Mais si offensivement Claude Puel ne peut pas compter sur Xavier Pantecote, qui n’a plus joué une minute depuis décembre 2011, il peut compter sur l’ancien dijonnais Eric Bautheac qui réalise un bon début de saison (4 buts et 3 passes décisives en Ligue 1) et qui n’hésite pas à centrer pour apporter le danger. Si l’OGC Nice est la 4ème équipe de L1 qui centre le plus avec 311 centres, c’est bien grâce à Eric Bautheac et ses 95 centres (Deuxième meilleur total de L1).

Malheureusement Nice est aussi la 6ème plus mauvaise défense de L1. Cela est en grande partie dû au fait que l’effectif est jeune et a commis trop d’erreurs de concentration en ce début de saison pour permettre à Nice d’être plus haut dans le classement. Si la charnière centrale titulaire reste la même avec Renato Civelli et Nemanja Pejcinovic , les latéraux sont très inexpérimentés avec Kolodziejczak à gauche et Palun ou Genevois à droite.
De plus il y a cette alternance au niveau des gardiens qui peut être perturbante pour la défense, Joris Delle ayant joué les dix premiers matchs de L1 avant de laisser sa place à David Ospina pour les trois derniers.

Une fin de trimestre encourageante

La joie de Valentin Eysseric, buteur en Coupe de la Ligue (OGC Nice 3-1 O.Lyonnais)

Une fin de trimestre encourageante

Concernant la Coupe de la Ligue, l’OGC Nice continu son petit bonhomme de chemin et a réussi à accéder aux ¼ de finale. Tout d’abord après avoir éliminé le Stade Brestois 4 buts à 2 à Francis-Le Blé grâce notamment aux deux premiers buts de Dario Cvitanich sous le maillot rouge et noir. Puis en réalisant un petit exploit en éliminant l’Olympique Lyonnais, ancien club de Claude Puel. La jeune garde composée de Genevois, Mahamane Traoré, Valentin Eysseric, Kévin Diaz, Kolodziejczak et surtout le jeune Maupay en attaque du haut de ses seize ans ont réussi à sortir l’ancien finalise de la compétition sur le score de 3 buts à 1 sur une pelouse détrempée.

Par ailleurs ce match a peut-être été un déclic pour les niçois car depuis cette rencontre l’OGC Nice a enchainé 4 matchs sans défaite (3V, 1N) dont un nul au Vélodrome suivi d’une victoire face à Toulouse.
Après s’être rendu à Sochaux pour le dernier match de L1 en ce mois de novembre, l’OGC Nice qui est actuellement en milieu de tableau aura à cœur de prouver à des équipes comme le Paris Saint-Germain ou le Stade Rennais qu’il est très difficile de se déplacer au Stade du Ray en cette fin d’année 2012.
L’OGC Nice est donc plutôt bien placé en Ligue 1 malgré un début de saison difficile et montre un contenu intéressant. Si beaucoup se sont moqués de Claude Puel car ce dernier souhaite « retrouver la Ligue des Champions », il serait intéressant de se souvenir du travail qu’il a accompli au LOSC jusqu’à les amener en Champion’s League. Si cela ressemble à un doux rêve utopiste, Claude Puel a les capacités de faire de l’OGC Nice un candidat crédible à la course à l’Europa League à moyen terme. De plus, on ne va pas reprocher à un entraineur d’être ambitieux quand la langue de bois est ce qui se pratique de mieux dans le football professionnel à l’heure actuelle. Sans ambition, il est impossible de progresser, pour reprendre une célèbre citation d’Oscar Wilde : « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles. ».

Enfin, en cette saison de construction, l’avenir du Gym s’annonce sous de bons auspices avant l’arrivée du nouveau stade. Attention de tout de même car si un nouveau stade arrive avec plein de promesses, il a souvent été livré avec un chat noir pour une certaine quantité de clubs dans ce championnat de France : Grenoble, Le Mans, Le Havre, Amiens ou même le LOSC peuvent en témoigner (Valenciennes semble être une exception). Mais malgré l’incapacité du club à terminer dans la première partie de tableau depuis quatre saisons, le projet se veut rassurant tant dans ses perspectives que dans sa réalisation actuelle. Ainsi, pour conclure, je me livrerais à un petit pronostique en disant que Claude Puel arrivera à placer l’OGC Nice dans les 10ères places cette saison. Mais attention, rien n’est écrit d’avance…

Ligue 1 - Classement à l'issu de la 13ème journée

Ligue 1 – Classement à l’issu de la 13ème journée

Top and the Flop (Episode 13)



C’est le début de semaine, tu déprimes après une journée de galère? Et bien ton Top and the Flop est là pour toi !
C’est parti !


Manchester City le rescapé du weekend?

Manchester City a pris seul ce weekend la tête du classement, puisque seule équipe du trio de tête comprenant entre autres Manchester United et Chelsea a gagné ce weekend. C’est avec surprise qu’ils passent en tête puisque depuis le début de saison City est plutôt décevant enchaînant le bon et le moins bon, en plus des résultats plutôt mitigé en Champions League. Mais au final, les Citizens sont toujours là !

La Fiorentina en embuscade

Dans son antre de Artemio Franchi l’équipe de Florence est intraitable cette année. La preuve encore hier avec leur victoire 4-1 contre l’Atalanta Bergame. La formation de Vincenzo Montella devient au fur et à mesure de plus en plus séduisante. Un football offensif, un bon mercato enregistrant l’arrivée de bons joueurs de ballon comme Aquilani, Borja Valero, Matias Fernandez et David Pizarro. La Viola après un départ poussif semble bien partie pour jouer les fortes têtes tout au long de la saison.

Lyon ça pétille !
Vainqueur de Reims, hier sur le score de 3-0 , les Lyonnais ont donc pris place sur le podium de la Ligue 1. Les Lyonnais confirment leur bon début de saison et peuvent maintenant afficher leur ambition. Malgré le budget serré et les départs de certains cadres, les Gones jouent sans complexe et pourraient même être titrés champions d’Automne avant de peut-être pouvoir rêver de titre de champion de France !


Paris entame sa traditionnelle crise de novembre

Certes Rennes a été héroïque samedi soir au parc en l’emportant 2-1 à 9 contre 11 après l’expulsion du gardien Costil et de Makoun. Mais le PSG n’a pas su trouver la faille pour l’emporter, privé de Zlatan, les hommes de Carlo Ancelotti ont semblé perdus. Avec 1 point en 3 matchs la traditionnelle crise de novembre bien connue au PSG se profile à l’horizon.

Jeunechamp, la zone mixte comme un ring
Samedi soir, à Valenciennes le défenseur Montpellier a pété les plombs puisqu’il a agressé un journaliste de l’Equipe qui avait publié dans la semaine un article sur le champion de France. Un article qui n’était visiblement pas du goût de Cyril Jeunechamp, qui a sorti les poings en zone mixte. Connaissant le style d’article de nos collègues Anglais, Allemand, Italien ou Espagnol, on se dit que si Jeunechamp avait joué à l’étranger il purgerait déjà une peine de prison pour meurtre. Encore une fois un membre de l’équipe de Montpellier nous montre toute l’étendue de son intelligence.

QPR s’enfonce encore
Après une nouvelle défaite 3-1 ce weekend à domicile contre Southampton, QPR 20 ème de Premier League avec 4 points en 12 matchs est l’équipe qui totalise le moins de points sur les 5 gros championnats européens (Angleterre, Allemagne, Espagne, France, Italie). Restons objectif la formation de Mark Hughes est bien parti pour descendre en Championship à la fin de la saison. Chaque saison il faut un épouvantail à chaque championnat et cette année c’est tombé sur les Queens Park Rangers.


Allez pour finir ce TATF comme d’habitude 3, 4 minutes de bonheur avec les plus beaux buts de la semaine dernière.

Top and the Flop (épisode 11)


Encore un week-end avec son lot de victoires, de défaites et de surprises. Un week-end où les classements se sont chamboulés, où des outsiders que l’on n’attendait pas ont pointé leur nez et où des gros sont tombés.

Tout ça, c’était ce week-end et on te le résume dans ton « Top and the Flop ».

Lyon montre les dents.
En début de saison, l’olympique Lyonnais ne faisait plus peur à grand monde, les anciens poussaient vers la sortie (Cris,Lloris..), les jeunes ambitieux quittant le navire (Pied, Grenier), on imaginait plus les Gones courir après une place européenne que lorgner sur le titre.
Mais ce dimanche après un match passionnant face à Bastia où l’OL s’imposa 5-2, un score qui parait lourd, mais où les Bastiais ont vendu chèrement leur peau, les hommes de Remi Garde revenus à seulement un point du leader ne peuvent maintenant plus se cacher et doivent afficher leurs ambitions.

Saint-Étienne prince du Parc.
C’était un match qui avait tout d’un sommet une équipe de Saint-Étienne solide qui venait pour casser la série d’invincibilitée Parisienne au Parc.
Mais les Parisiens trop sûrs d’eux après leur victoire face à l’OM, inconstant et souvent nonchalant n’ont pas pris les verts au sérieux. Aubameyang qui revenait de blessure, rentra en seconde période pour dynamiser le côté gauche de l’attaque verte, un pari gagnant, car le Gabonais inscrit deux buts le premier bien malgré lui un centre tir contré par Sahko qui finira dans les filets, le second lors d’un face à face avec Sirigu. La réduction du score par Hoarau (eh oui !!) ne changera rien, c’est bien Sainté qui avait le plus envie de gagner ce samedi.

L’Inter redistribue les cartes.
On pensait la Juve imbattable, qui plus est chez elle. Invaincue en série A depuis 49 matchs, la vielle dame devait bien rendre les armes un jour où l’autre, mais personne ne l’imaginait pas tomber d’aussi haut dans un match à tels enjeux. Malgré une ouverture du score supersonique après seulement 27 secondes de jeu, les Bianconeri n’ont pu que subir les attaques Milanaise lors de la seconde période, une vague Nerazzurri qui déferla, encore et encore pour repartir avec une belle victoire 3-1, et trois points de plus qui permettent à l’inter de n’être qu’à un point de cette même Juventus.

Pour Sochaux, c’est chaud…
Après leur match reporté, pour cause de neige on pensait, que les Sochaliens allaient revenir requinqués, bien dans leur têtes et plus motivé que jamais pour ne pas s’enfoncer vers la zone rouge. Eh bien non c’est le même Sochaux, celui qui a oublié son bleu de chauffe dans les ateliers Peugeot qui était sur la pelouse pour subir sa huitième défaite de la saison (3-1) alors d’accord c’était Valenciennes en face une équipe portée vers l’avant à qui tout réussi cette année, mais le problème des lionceaux est bien que plus rien ne leur réussit …

L’Atlético, fin de série.
Ils avaient jusqu’alors suivi la cadence infernale imposée par le Barça dans la course à la ligua, on les regardait jouer leur jeu porté vers l’attaque, euh pardon Falcao, mais ce week-end l’Atlético Madrid et resté muet face au FC Valence. Une défaite 2-0 , d’autant plus gênante que leur voisin du Real reviennent sur eux comme un boulet de canon…

Comme un air de déjà vu.
Mon premier est une claque monumentale reçu la saison dernière ( victoire de Manchester 8-2)
Mon second est leur ancien buteur passé chez l’ennemie et qui leur a mis un but aujourd’hui (Robin Van Persie)
Mon troisième est un grand méchant joueur, oouuuhhhh !!!!, qui a priori n’aiment pas jouer contre des enfants et leurs faits savoir en leur mettant un but (Patrice Evra)
Mon tout forme une défaite 2-1 qui vous place à la sixième place du classement.
Bravo Arsenal !!!!!

Et pour finir en beauté, vous avez le droit comme chaque semaine au récapitulatif des plus beau de la semaine passée.

Ligue 1 : Les joueurs formés au club


Bonjour à tous , le retour des chiffres et des graphiques sur Football Anatomy. Une nouvelle étude  et aujourd’hui on s’intéresse aux joueurs formés au club en Ligue 1. La première stat qui se dégage est la moyenne générale. En moyenne, il y a 30% de joueurs formés au club dans un club de Ligue 1.  Je vous propose donc une étude en profondeur. Commençons par les clubs pour qui le pourcentage de joueurs formés au club est faible.

Brest , zéro pointé ! Le made in PSG vers la disparition ?

C’est étonnant ! Brest ne compte aucun joueur formé au club dans ses rangs ce qui est tout de même rare. Le club breton souhaite en effet construire un centre de formation, mais celui ci est actuellement barré par des opposants. ( Le projet de centre de formation de Brest ). Pour le PSG , seulement 16% de l’effectif pro a été formé à Paris. Une stat inquiétante , mais qui est compréhensible, car depuis l’arrivée des Qataris, Paris recrute à l’internationale et ne pense pas forcément à la formation. Même si le jeune Adrien Rabiot est la bonne surprise de ces dernières semaines. Le Made in PSG pourrait tout de même disparaitre pendant plusieurs années.  Les petits clubs comme Ajaccio et Troyes ont également un pourcentage de joueurs formés au club en dessous de la moyenne. Les clubs manquent surement de moyens et préfèrent s’appuyer sur des joueurs d’expériences pour acquérir le maintien le plus vite possible. Quant à Lorient , la politique de recrutement est souvent axée vers des joueurs prometteurs de Ligue 2. On comprends donc le 17% de joueurs formés au club.

Bordeaux, Rennes, Saint Étienne , Marseille , la tradition 

La France est tout de même réputé pour former de nombreux joueurs. A Bordeaux comme à Rennes et Saint Étienne, depuis plusieurs années on forme des bons joueurs et surtout on compte sur eux en équipe première. Une tradition qui se perpétue au fil des saisons et qui va encore continuer ! Quant à Marseille, le club à aussi également souvent compté sur les jeunes , mais peut être encore plus aujourd’hui avec une situation économique difficile. Le club n’a pu le choix et doit s’appuyer sur son centre de Formation. Les frères Ayew en sont le parfait exemple. De nombreux jeunes tapent à la porte de l’équipe première. Élie Baup leur donnera surement leur chance !  Toulouse a également un bon nombres de joueurs formés au club dans son effectif. Enfin le promu Bastia a aussi un pourcentage de joueurs formés au club qui représente la philosophie du club. Allier la jeunesse et l’expérience.

Lyon , Montpellier, Sochaux, l’élite !

Ce sont les trois gagnants ! Lyon , Sochaux et Montpellier font confiance aux jeunes, les stats le prouvent, 50% des joueurs de l’effectif sont formé aux clubs. Pour Sochaux, c’est une tradition, l’un des meilleurs centres de formations du pays. Une bonne génération mais qui peine à sortir des résultats. C’est pour cela que certains vont voir ailleurs comme Marvin Martin. Pour Montpellier, le club s’appuie sur la génération qui lui a permis de remporter le titre la saison passée. Belhanda, Yanga Mbiwa , Cabella, Stambouli & co, une jolie génération, qui malheureusement manque d’expérience dans les compétitions européenes et qui peine cette saison en Ligue 1. Dur dur de renouveler des exploits ! Enfin Lyon fait également parti des leaders. Comme Marseille, le club a une situation économique difficile. Même si le club a fait confiance à ses jeunes par le passé. Aujourd’hui encore plus ! Pourquoi ? Le club n’a pas les moyens de recruter et souhaite également s’appuyer sur ses jeunes, qui sont souvent parti ailleurs ( Rémy, Mounier, etc … ).

Les clubs de Ligue 1  aiment faire confiance aux jeunes issus du centre de formation. Les joueurs formés aux clubs ont de l’avenir en France !

Le cas Gourcuff


Gourcuff ! Yoann Gourcuff ! Entre Messi des girondins à une époque et Casper le gentil fantôme à Lyon, que vaut vraiment Yoann Gourcuff aujourd’hui ? Et bien  je vais tenter de vous donner une réponse ! Mais pour le moment l’olympique Lyonnais peut contacter Julien Courbet parce qu’une arnaque à 22 millions ça ne se trouve pas tous les jours !

Une montée en puissance

Tout d’abord formé au Stade Rennais au début des années 2000, il se fit remarquer en 2003 notamment par l’Ajax Amsterdam, Arsenal et Liverpool en marquant un magnifique coup franc en finale de la Coupe Gambardella. Suivie ensuite de 3 saisons professionnelles à Rennes comptant 86 matchs avec quelques coups d’éclat en championnat (voir vidéo ci-dessous).

Part au Milan AC à l’été 2006 repéré par le « Cavaliere » malgré des sollicitations Paris Saint-Germain, Lyon et Arsenal. La presse italienne va rapidement s’intéresser à lui et comme d’habitude va connement le comparer et le considérer comme le « nouveau Zidane » (je dis connement, car des comparaisons à la mort moi le nœud il y a en a tous les jours. La plus part du temps fausse et de plus il est impossible de comparer un joueur à un autre surtout quand le principal intéressé  a  joué  2 saisons pleines de ligue 1). Malgré de bonnes performances il se voit barré par les Kaka, Seedorf and co, au bout de 2 saisons montrant quand même des qualités techniques intrinsèques et une vision de jeu plutôt bonne le Milan décide de le prêter aux Girondins de Bordeaux ou la…

L’explosion

Yoann Gourcuff arrive en prêt à l’été 2008 en Gironde avec une option d’achat s’élevant à 15 millions d’euros, ayant pour tâche de remplacer un autre Johan en l’occurrence Johan Micoud.
Pendant 1 saison et demi notamment durant la saison 2008/2009 Gourcuff sort des prestations tout simplement magistrales et fut un des grands artisans du titre cette année-là avec des gestes de hautes volées (prestations rentabilisé par la levée de l’option d’achat et donc le transfert définitif de Gourcuff aux girondins) … Parallèlement, il est aussi l’auteur de bonne prestation en équipe de France fraichement appelé par Raymond Domenech .

Son style de jeu plutôt complet, sa vision de jeu, sa technique lui ont permis pendant 1 saison et demi d’être un des meneurs de jeu français le plus efficace d’Europe, que ce soit en tant que créateur, tireur de coup de coup franc ou finisseur, Yoann Gourcuff écrasa tout sur son passage.

La chute

À partir de janvier 2010, les Girondins de Bordeaux tournent de moins en moins bien malgré une accession au quart de finale de Champions League. Et la chute des Girondins s’associe aussi à la baisse de forme de son meneur de jeu. Moins efficace, plus de frustration,  un collectif qui s’effrite Gourcuff perd confiance et sa fin de saison ressemble à celle des Girondins c’est-à-dire un long chemin de croix.
Tout de même sélectionner pour disputer la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud avec l’équipe de France, le niveau de forme de Gourcuff ne cesse de se dégrader et les performances pitoyables de l’équipe de France ne font rien pour arranger les choses. De plus, l’histoire de chambrage avec Ribéry lui fait perdre le peu de confiance qu’il lui restait. Mentalement on le sent très entamé ne réussissant plus à ce sublimer, il n’est tout simplement plus dans le coup…
Voulant changer d’air Gourcuff fait part au dirigeant bordelais au mercato 2010 de son envie de départ et c’est pour 22 millions d’euros et quelques bonus que l’Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas l’acquiert et le présente comme une star devant 15 000 spectateurs à Gerland.
Malgré un changement de club Gourcuff n’arrive toujours pas à donner satisfaction. Le jeune homme a  tout simplement perdu son football, ne livre que des prestations en demi-teinte et ne s’assurant même plus une place de titulaire. Au vu de l’investissement l’Olympique Lyonnais voit pour le moment son pari complètement raté.

Les raisons de cette chute

Et bien comme nous avons pu le constater au-dessus Gourcuff n’arrive pas à ce sublimer depuis 2 ans dans une équipe qui va mal, mais surtout depuis que les médias en ont fait le « nouveau Zidane » mais aussi sans doute à cause de la pression au vu de l’intérêt qu’il représente. Alors, on peut se poser la question, au final n’était-il seulement pas en sur régime ? À cette question on ne peut qu’apporter une réponse négative. Car le jeune homme a  du talent et il ne la pas montrer qu’à Bordeaux, mais aussi à Rennes et au Milan AC.
J’ai associé tout à l’heure son niveau déclinant à une perte de confiance, mais peut-être c’est ici que repose tout le problème ! Le mental ! Yoann Gourcuff a peut-être du talent, mais n’arrive plus mentalement à ce sublimer et redevenir ce qu’il était avant, c’est peut-être la pression qui le bloque ou peut-être qu’il n’est  pas fait pour jouer au plus haut niveau mondial malgré son talent. Le foot est une histoire de talent, mais de plus en plus une histoire de mental  et l’un ne peut pas aller sans l’autre. Si on pouvait comparer son cas à un autre sportif on pourrait le comparer à Richard Gasquet le joueur de tennis. Un talent hors norme écrasant tout chez les jeunes, mais n’ayant pas les ressources mentales nécessaire pour s’imposer en tant que figure mondiale du tennis.

Conslusion

En conclusion, Gourcuff n’est pas une arnaque ce joueur a du talent, mais malheureusement il lui manque un mental. Un mental de guerrier qui pourrait faire chez lui toute la différence. Il n’est pas fait pour le plus haut niveau, mais plutôt pour un club de bon niveau avec une ambiance familiale qui le pousse a donner le meilleur de lui-même sans trop de pression. Ce joueur à besoin d’être chouchouté, etc.… Mais actuellement pour ceux qui se poseraient encore la question va-t-il apporter quelque  chose à l’Olympique Lyonnais ? À moins d’un suivi psychologique, le climat de l’OL n’est pas fait pour lui. Et dans les prochaines années, on ne devrait voir aucune amélioration avant un transfert dans un club qui est plus adapté à ce style de joueur c’est-à-dire un club avec un contexte familial.

Ligue des Champions : les clubs français doivent mieux faire !


Alors qu’à l’aube de la dernière journée de la phase de poule, aucun des trois clubs français engagés en Ligue des Champions cette année n’était encore qualifié pour les huitièmes de finale, un exploit et un miracle ont permis aux représentants hexagonaux de la compétition de faire un « deux sur trois ». Inespéré !

L’exploit est venu de Dortmund où l’Olympique de Marseille, rapidement mené 2-0 par une équipe allemande en grande forme, est parvenu à se mobiliser pour finalement l’emporter 3-2. Un résultat scellé par une frappe magnifique de Mathieu Valbuena en pleine lucarne de Roman Weidenfeller et qui permet aux Marseillais de poursuivre la compétition pour au moins un tour supplémentaire.

Mais la plus grosse surprise tricolore de cette dernière journée est clairement à mettre au compte de l’Olympique Lyonnais. Les protégés de Rémi Garde sont parvenus à s’imposer 7-1 sur le terrain de Zagreb. Avec, en prime, un quadruplé de Bafé Gomis. Grâce à ce carton – et à la défaite de l’Ajax face à Madrid – les Rhodaniens parviennent à combler leur retard au goalaverage de 7 buts sur leurs concurrents néerlandais.

C’est finalement à Lille que s’est produit la principale désillusion de la journée. Les joueurs de Rudy Garcia avaient pourtant leur destin en main : il leur suffisait de batte Trabzonspor pour assurer la qualification. Malheureusement, après avoir tenté pendant 90 minutes, les Lillois ne sont jamais parvenus à ouvrir le score. La rencontre se termine sur un triste 0-0 qui ne permet même pas aux Nordistes d’être reversés en Europa League puisque, dans un même temps, le CSKA Moscou s’est imposé face à l’Inter.

C’est clair que, du point de vue du nombre de clubs qualifiés, les Français peuvent s’estimer plutôt heureux à l’issue de ce premier tour. Seuls les clubs italiens font mieux à ce niveau avec un total de trois qualifiés sur trois pour les huitièmes de finale.

Mais penchons-nous un peu plus sur les statistiques afin de déterminer si nos représentants en C1 sont réellement parvenus à rivaliser avec leurs concurrents européens et si les clubs français encore en lice peuvent espérer prolonger un peu plus l’expérience.

Point positif : la défense

On l’a dit : le premier tour de cette édition de la Ligue des Champions a été compliqué pour les Français. Outre ces deux qualifications in extremis, la défense des clubs français lors de ce premier tour apparaît comme un des principaux points de satisfaction.

Avec une moyenne de 5,67 buts encaissés pour les trois équipes tricolores engagées, les clubs français se situent à la deuxième position des meilleures défenses. Ils sont dépassés, de très peu, par les équipes portugaises. Celles-ci peuvent se targuer d’une moyenne de 5,5 buts pris pour leurs deux clubs engagés : Benfica et le FC Porto.

Dans ce domaine, les mauvais élèves sont les clubs allemands avec 8,67 buts contre. C’est principalement la défense de Dortmund – qui a encaissé 12 buts en 6 matchs – qui contribue à ce résultat. Le FC Bâle étant le seul club suisse de ce premier tour, on peut considérer que nos amis helvètes ont officiellement la pire défense puisque l’équipe a pris 10 buts.

Point négatif : l’attaque

Si les clubs français se sont distingués en défense lors de cette phase de poule, on ne peut pas en dire autant de leur attaque. En effet, avec une moyenne de 7,33 buts inscrits, ils sont les moins prolifiques, en moyenne, de ce premier tour.

Loin derrière les espagnols et leur score moyen de 13,25 buts marqués par club. Un score qui aurait pu être beaucoup plus important sans les six contre-performances de Villareal qui n’a réussi à inscrire que deux buts.

Les seconds de ce classement (si on ne tient pas compte du FC Bâle toujours qui a marqué 11 buts) sont les Anglais. Ils peuvent se targuer d’avoir mis, en moyenne, 10 buts par club engagé.

Il va falloir gagner plus !

Il est maintenant temps de compter les points. En faisant la moyenne des 18 rencontres auxquelles ont pris part les clubs de l’Hexagone lors de ce premier tour de la Ligue des Champions, on obtient un total de 8 points par club.

Avec une moyenne de 2 victoires, 1,67 nuls et 2 défaites, les équipes françaises sont celles qui ont marqué le moins de points parmi les nations qui ont des clubs qualifiés pour les huitièmes de finale.

Voici le classement en détail :

1 – Suisse (1 équipe). 11 points. 3 victoires, 2 nuls, 1 défaite

2 – Espagne (4 équipes). 10,5 points. 3,25 victoires, 0,75 nuls, 2 défaites.

3 – Angleterre (3 équipes). 10,25 points. 2,75 victoires, 2 nuls, 1,25 défaite.

4 – Italie (3 équipes). 10 points. 2,67 victoires, 2 nuls, 1,33 défaite.

5 – Portugal (2 équipes). 10 points. 2,5 victoires, 2,5 nuls, 1 défaite.

6 – Allemagne (3 équipes). 9 points. 2,67 victoires, 1 nul, 2,33 défaites.

7 – Chypre (1 équipe). 9 points. 2 victoires, 3 nuls, 1 défaite.

8 – Russie (2 équipes). 8,5 points. 2 victoires, 2,5 nuls, 1,5 défaite.

9 – France (3 équipes). 8 points. 2 victoires, 1,67 nuls, 2 défaites.

Ce classement affiche des moyennes par clubs de chaque pays. Il est à pondéré par le nombre d’équipes engagées selon les nations et par les mauvais résultats de Villareal qui fait fortement baisser la moyenne des clubs espagnols.

À la vue de ce bilan, on peut estimer que les clubs français vont devoir mettre les bouchées doubles dès les huitièmes de finale s’ils souhaitent poursuivre l’aventure en Ligue des Champions. Il va leur falloir être plus efficaces, tout en essayant de préserver leurs bonnes performances défensives.

Tous les amateurs de foot français espèrent voir une équipe française atteindre au mois l’étape des quarts de finale et, pourquoi pas, réaliser la même performance que Lyon qui était parvenu à se hisser dans le carré final la saison dernière.

Affaire à suivre !

Pourquoi le match de Lyon pourrait être douteux ?


Bonjour à tous, si vous avez lu un peu les médias du foot, entre ce matin et maintenant, vous avez sans doute entendu parler de la qualification de Lyon qui serait douteuse selon certains. Et nous on en pense quoi ? Pas vraiment d’avis, mais dans cet article, nous allons évoquer les éléments qui feraient que Lyon aurait pu gagner grâce à un match truqué. Certains points seront ironiques et l’article se fera au conditionnel. Vous l’aurez compris.

Vida & Gomis , l’élément déclencheur !

Tout se passe après le cinquième but de Lyon. Après ce but de Gomis, on voit que le joueur du Dinamo Zagreb fait un clin d’œil à l’attaquant français. Et on remarque également que Vida lève son pouce en direction de Gomis. Simple félicitation ? Ou geste pour dire à Gomis de ne pas se presser et que tout va bien ? Ou alors un but suspect, un match suspect où on peut imaginer des choses qui ne seraient pas très réglementées !

Un quadruplé de Gomis !

Gomis a inscrit un quadruplé, plus qu’historique. Il entre ainsi dans un cercle très fermé de 7 joueurs – dont lui – à avoir mis 4 buts dans un match de Ligue des Champions. L’attaquant lyonnais rejoint Marco Van Basten (AC Milan), Simone Inzaghi (Lazio Rome), Dado Prso (Monaco), Ruud Van Nistelrooy (Manchester United), Andreï Chevtchenko (AC Milan) et Lionel Messi (FC Barcelone).  Il inscrit également le triplé le plus rapide de l’histoire de la LDC. Vous y croyez vraiment vous ? Un Gomis qui met 4 buts dans un match, c’est difficile à y croire… Peut être que le Red Bull donne des ailes ! Qui sait ?

Zagreb, un passé plus que douteux !

Le club croate possède un passé plus que douteux. En 2009, un des joueurs du club adverse avait été soupçonné d’avoir été acheté par le club croate. De plus ce soir là Zagreb l’avait facilement emporté 3-0 mais l’UEFA n’avait pas donné suite à l’affaire. Le président du club et son frère ont été également impliqués dans une affaire de match acheté, la même année. On n’oublie pas le passé des clubs !  Des accusations trop faciles à porter sur ce club ?

Les deux buts refusés de l’Ajax

Même si on est un peu hors sujet, car ce n’est peut être pas en lien avec un éventuel match truqué et que Lyon n’a peut être pas volé son match, on ne le sait pas, et nous sommes neutres sur la question. L’Ajax s’est vu injustement refusé deux buts hier soir face au Réal. Deux buts qui auraient changé complètement le match et qui aurait changé le destin, Lyon ne se serait pas qualifié pour les huitièmes de finale ?

La presse espagnole se venge-t-elle ?

Pour finir, nous allons presque défendre notre club français, l’olympique lyonnais. Cette histoire de doute sur ce match a été lancée ce matin par les grands quotidiens sportifs espagnols comme As. Ce sont eux qui ont lancé ces rumeurs, un acte de vengeance envers les Français après les déclarations de Yannick Noah envers les Espagnols ?

Ligue 1, Un avenir économique ?


       Alors que le football français est en pleine crise financière (chute des droits TV, dette de 114M € en ligue 1 en 2010/11) on peut commencer à s’inquiéter de l’avenir économique de la ligue 1.

Quels peuvent être les impacts de ces crises ? Peut-on espérer un impact des clubs à budget  « Qatari » ? Qui seront les perdants, les gagnants , comment la ligue va t’elle pouvoir retomber  financièrement sur ses pieds ?

Nous allons, pour cela, essayer d’expliquer les impacts de cette crise et d’analyser les propositions actuellement avancées par  l’UEFA et la FFF.

La crise Française

La crise du football français a débuté en 2008 et s’est largement accentuée entre 2009 et 2011 comme on peut le voir sur ce diagramme (fig 1)

Figure 1

 

(ndlr: produit hors mutation : revenu excluant les revenues de transferts; résultats net: bénéfice des clubs de ligue 1 et ligue 2)

Alors que les revenus attribués aux clubs étaient en augmentation, ces derniers, au contraire, ont été incapables de finir leur saison avec un bénéfice net ces deux dernières années.

En ce qui concerne le marché des transferts, il est facile de se rendre compte que les clubs français sont obligés de se servir de la vente de joueurs pour pouvoir rester économiquement stables (exemple: vente de Varane du RC Lens au Real Madrid, où le budget de vente de 10M€ est entièrement utilisé pour rattraper le manque financier due à la relégation, ou encore les ventes de l’AS Monaco toujours en déficit entre 96 et 141M€)

Qui plus est, ces problèmes financiers accentuent fortement les écarts entre les clubs, étant donné que pendant que les clubs endettés vendent pour se stabiliser, les clubs a situation stable continue à fortement acheter. (fig 2)

Figure 2

 

       C’est pour ces raisons qu’apparaît une forte augmentation de capitaux propres au sein des clubs afin de pérenniser ces derniers. L’exemple le plus probant étant bien sur celui du PSG et des Qataris, et c’est malheureusement ce genre d’exemple qui risque d’entraîner petit a petit le championnat français à devenir un business championship où les capitaux ne seront  plus gérés et contrôlés par la DNCG (direction nationale de contrôle de gestion)

Un projet Business pour solution?

       Alors que la DNCG demande à réformer le fonctionnement  de  la Ligue1, les présidents de clubs, tout d’abord contre cette idée, passent à l’offensive en proposant un championnat tourné vers un « big four » à l’anglaise (bien que bien moins perceptible ces deux dernières années) et un championnat à l’Allemande:

       En effet ils souhaitent transformer  la ligue comme suit :

       16 équipe dont 2 relégables et match barrage entre les 3 à 16emes.

       Format sûrement le plus rentable actuellement en Europe mais aussi le plus élitiste et enfonçant la ligue2 dans les plus profonds méandres…

       Alors que la ligue 2 n’a jamais été plus passionnante que ces deux dernières années avec du jeu, de l’engagement et un équilibre entre les clubs (14points séparant  le premier du dernier, 9points entre le premier relégué et le premier promu au bout de 13journées (tiers du championnat), cette proposition rendrait cette compétition vide d’intérêt et offrirait beaucoup moins de chance à des clubs comme Arles-Avignon de pouvoir vivre une ligue 1.

En ce qui concerne le big four a la française, les présidents proposent de favoriser  les clubs possédants de grands stades.

 (plus généralement les stades pouvant accueillir les matchs de l’équipe nationale:  Lyon, Marseille et Paris en priorité puis Lille. Rennes, Lens, Bordeaux et Saint-Étienne)

Elle consisterait à partager 60% des droits TV aux trois premiers clubs  pour que ceux-ci puissent se concentrer sur la C1 afin d’augmenter les revenus actuels et l’engouement à leur match, et les 40% restants en priorité aux 5 autres clubs pour que ceux-ci puissent devenir des outsiders et ainsi donc laisser une certaine animosité à la Ligue 1…

Ce qui donnerait sûrement un partage de cette forme(fig3):

Figure 3

 

Autant dire que la lutte pour la relégation deviendrait quasiment  plus intéressante à surveiller car moins financière et plus engageante.

La question qui tombe maintenant est de savoir si l’on souhaite un championnat français rentable mais vide de sens ou un championnat disputé (ou voir l’OM/PSG/OL relégué est encore possible) mais qui ne rapporte pas de sous ?

La FFF et l’UEFA n’ayant pas d’autre projet sous la main actuellement étudieraient donc actuellement cette possibilité… et  les rapports annuels de la DNCG ne pourront qu’ajouter  une pression à ces deux fédérations pour trouver  au plus vite  une solution.

Bilan

Le bilan économique français devient alarmant et aucune solution qui conviendrait à tous n’a encore été proposée. Nous risquons de trouver dans les années à venir une Ligue 1 capitaliste afin de la rentabiliser, et ainsi pouvoir ré attirer la convoitise des medias, au détriment d’une ligue 2 attirant de  plus en plus de spectateurs, passionné de foot de qualité (facilité d’accès grâce au projet Cfoot).


Et le naming en France, ça donnerait quoi ?


Bonjour à tous , aujourd’hui après une semaine de tous les records comme vous avez pu l’entendre , on voue remercie tout d’abord. Et on va continuez à écrire  ! Nous vous proposons un article détente , qu’est que pourrait donner le naming en France. On vous donne quelques idées, et n’hésitez pas à nous en proposer !

Le Pastis Arena – Marseille

Marseille en profite pour rénover son stade, et innove en passant au Naming, fini le stade vélodrome, maintenant dans la cité phocéenne , on ira au Pastis Arena , les soirs de match !

Le Minecraft Stadium – Saint Étienne

Le jeu Minecraft s’offre un superbe coup de pub, en achetant le nom du stade de l’ASSE , le chaudron battra au rythme dans le Minecraft Stadium, un jeu devenu très populaire en France !

Le Maroilles Fauquet Stadium – Lens

Pour l’Euro 2016 , Lens rénove son stade, et suit la mode du Naming qui explose en France. Pour garder les valeurs locales, l’entreprise Fauquet qui est leader sur le marche du maroilles, achète le nom du stade pour 10 ans !

Saint Emilion Arena – Bordeaux

Bordeaux construit un nouveau stade, c’est une commune voisine qui a sauté sur l’occasion, le doyen millionnaire étant décédé l’année dernière a légué toute sa fortune à la commune pour la promouvoir, St Emilion achète donc le nom du stade ! Les bordelais joueront à Saint Emilion Arena !

Le Playstation 4 Stadium – Lyon

Le président Aulas décide de ne plus appeler le nouveau stade, le stade des lumières, il fait appel au Naming, le plus offrant est Sony, qui veux faire un coup de pub avec sa nouvelle console la PS4. Le Stade s’appellera le Playstation 4 Stadium. Les joueurs de l’ol pourront jouer sur playstation !

Et vous , vous avez des idées, proposez les en commentaire et on mettra les meilleurs en images !

Ligue 1 : récapitulatif de la 5e journée


A l’issue de cette cinquième journée de Ligue 1, on peut commencer à apercevoir certaines tendances se dessiner. Certains, comme Lyon, Paris ou Montpellier, affichent une belle forme et s’imposent déjà comme les patrons du championnat.

De l’autre côté du classement, des clubs comme Marseille, Valencienne et Nancy sont en difficulté et voient la crise poindre.

D’autres, comme Bordeaux et Caen, peinent à confirmer et continuent de végéter dans le ventre mou du classement.

Retour sur les rencontres de cette cinquième journée de Ligue 1 avec, au programme, cette semaine : des surprises, des doublés, deux 0-0 très chiants et 17 buts au total.

Caen 0 – 1 Toulouse : Le TFC jusqu’à quand ?

Avant cette rencontre, les deux équipes n’étaient séparées que d’un seul point au classement. On s’attendait donc à un match disputé, équilibré. Une rencontre qui pouvait faire beaucoup de bien au vainqueur.

Ça sentait donc fort le match nul. Et ce fût le cas pendant 92 minutes. Jusqu’à l’ouverture du score, dans les arrêts de jeu d’Étienne Capoue. Le milieu haut-garonnais reprend un tir relâché par le gardien de Caen et offre la victoire à ses coéquipiers.

Un succès important pour les Toulousains qui, avec 10 points pointent désormais à la 5e place du classement. Mais la rencontre fût assez triste. Les Caennais ont déjoué et leurs adversaires ont eu du mal à trouver la faille.

Le match fût fermé avec beaucoup de duel au milieu du terrain. Les deux équipes furent d’ailleurs sifflées à la mi-temps.

Caen continue donc de faire du surplace après ses deux victoires lors de deux premières journées. L’équipe plafonne à 6 points, à la treizième place.

Sochaux 1 – 1 Lorient : Lorient arrache le nul

Marvin Martin était suspendu. Et ses coéquipiers ont su montrer qu’ils savaient bien jouer au foot même en l’absence de leur meneur de jeu. En effet, les Lionceaux ont largement dominé les débats et ont longtemps cru tenir la victoire.

Boudebouz trouvait d’abord le montant Breton à la 17e. Mais c’est Butin qui ouvrait le score à la 49e minute, en reprenant au second poteau un centre de Corchia. Le buteur manquait de doubler la mise, dans la foulée. Mais il voyait sa frappe échouer sur la transversale.

Au retour de la pause, les Merlus se réveillaient mais ils étaient bien contenus par de vaillants sochaliens. Ces derniers cédaient finalement dans les dernières minutes.

C’est Emeghara qui égalisait, à la 88e, après avoir éliminé Corchia et fixé Richert. Un nul logique entre deux équipes à 8 points qui pointe à la 7e (Sochaux) et la huitième place (Lorient) du classement.

Dijon 1 – 2 Lyon : Gomis en patron

Les Lyonnais sont en forme en ce début de saison. Et même sans faire un grand match, les Gones d’e Rémi Garde parviennent à prendre les trois points à l’extérieur face à une courageuse équipe dijonnaise.

Privés de Lisandro, les Rhodaniens ont rapidement ouvert le score. A la sixième minute, Gonalons coupait, au premier poteau, un corner tiré par Källström de la droite vers la gauche. A la fin du match, le milieu lyonnais avouera finalement qu’il n’est pas le buteur mais que le ballon a en fait été dévié par un défenseur bourguignon.

Les Olympiens imposaient ensuite leur domination en confisquant le ballon à leurs adversaires. Mais ces derniers, courageux et efficaces défensivement, laissaient passer l’orage et profitaient d’un moment de déconcentration des Lyonnais pour revenir dans le match.

C’est Corgnet qui égalisait à la 43e d’une frappe puissante des 20 mètres. Pas très bien placée mais assez sèche pour surprendre Lloris.

Le début de la seconde mi-temps étaient plus délicat pour les septuples champions de France. Ils ne parvenaient plus vraiment à faire le jeu. Mais ils reprenaient finalement l’avantage à la 53e grâce à Gomis.

L’attaquant prenait ses responsabilités en l’absence de son compère Lisandro et reprenait victorieusement de la tête un centre de Bastos. Suite à quoi les Gones géraient leur avance jusqu’à la fin de la rencontre.

Très bonne opération pour l’OL qui, avec 11 points, confirme sa place de dauphin de Ligue 1 et continue sur sa belle lancée. Pour les dijonnais, la situation est plus délicate. Ils ont six points et stagnent à la quatorzième position.

ASSE 1 – 3 LOSC : Hazard fait bien les choses

Les Lillois signent leur grand retour dans les premières places du classement. Mais ce ne fût pas simple. Les Stéphanois ouvraient le score à dès la septième minute. Sur un coup du sort : un but contre son camp du Lillois Rozenhal.

Ensuite, les Nordistes ont eu du mal à revenir dans le match. Ils se sont heurté à une équipe de Saint-Etienne plus que prudente. D’autant plus que ces derniers se sont vus rapidement réduits à onze suite à l’expulsion de Néry à la 32e minute pour un tacle assassin sur Béria.

Mais après la mi-temps, Eden Hazard entrait en scène et changeait le cours de la rencontre. D’abord à la 54e minute. Il s’offrait un magnifique slalom dans la défense des Verts et venait tromper Ruffier pour égaliser.

Et le milieu offensif belge enfonçait le clou à la 73e. Il s’appuyait sur Saw et battait le portier stéphanois une seconde fois. Difficile ensuite de revenir pour ces derniers. Pourtant, à la 82e, Sakho touchait le poteau sur coup-franc.

Mais c’est finalement Obraniak qui clora les débats à la 86e grâce à une passe décisive de Joe Cole. Le milieu anglais était entré à la 65e à la place d’une Payet décevant.

Grâce à cette victoire, les Lillois remontent sur le podium à la troisième place, avec 10 points. Quant aux Stéphanois, ils restent à 7 points et pointent à la neuvième position.

AC Ajaccio 3 – 1 Valenciennes : première victoire pour les Corses

Remontés, les Valenciennois affichaient leurs ambitions dès le début de la rencontre. Ils prenaient le jeu à leur compte et dominaient assez largement leurs adversaires. Mais Ochoa parvenait valeureusement à préserver ses buts.

Mais le portier Mexicain céda finalement à la 36e face à Danic qui reprenait un centre de Ducourtioux. La première mi-temps se terminait sur ce score de 1 – 0 pour les Nordites.

Mais à la reprise, les Corses ne tardaient pas à revenir dans le match. Sammaritano égalisait sur un beau coup-franc à la 47e. Et le lutin remettait ça, sept minutes plus tard sur un enchainement contrôle de la poitrine, frappe de l’extérieur du droit.

La partie finissait de basculer, à la 58e suite au troisième but marqué par Ilan. Profitant d’un bon travail de Cavalli, le Brésiliens battait le gardien ajaccien d’un ballon piqué.

Une victoire qui donne un peu d’air aux Corses. Ils sortent de la zone des relégables et, avec 5 points, remontent à la quinzième place. Pour les Valenciennois, en revanche, la situation se complique lourdement. Ils n’ont toujours qu’un seul point et restent lanterne rouge.

Bordeaux 0 – 0 Evian TG : nouvelle purge à Chaban

En ce début de saison, les Girondins ne font vraiment pas le bonheur de leurs supporters. Encore un match nul qui doit donner des envies de meurtres aux abonnés du stade Chaban Delmas.

Pas grand chose à dire sur cette rencontre à part que Bordeaux a imposé une domination stérile à des Savoyards très prudents. Les Girondins ont peu inquiété le gardien d’Evian à part par l’intermédiaire de Modeste, de la tête, à la 19e et de Diabaté, lui aussi, de la tête, qui frappait la transversale à la 75e.

Le FCGB continue de végéter dans le ventre mou, à la onzième position, avec 6 points. La saison s’annonce longue à nouveau, sur les bords de la Garonne… Evian est douzième avec le même nombre de points.

Marseille 0 – 1 Rennes : l’OM tremble

Lors des deux dernières saisons, ils ont remporté le championnat et terminé second. Mais cette année, la tache s’annonce beaucoup plus compliquée pour les Marseillais. En effet, après 5 journées, les Olympiens pointent à une triste seizième place avec seulement trois unités acquises lors de trois matchs nuls.

Et samedi, c’est le FC Rennes qui a crucifié les joueurs phocéens. Ou plutôt Costil, le jeune gardien breton. Il a dégouté les attaquants marseillais à plusieurs reprises. D’abord face à Remy, de près à la 15e. Puis de toute beauté sur une tête de Diarra sur corner au retour de la pause.

Le portier Rennais, aidé par une solide défense, parvenait à préserver son but vierge. Et, à la 76e, c’est un de ses dégagements mal négocié par les arrières marseillais qui permettait à Kembo de tromper Mandanda d’une belle frappe de 20 mètres.

Douche froide dans les Bouches-du-Rhône où la crise pointe le bout de son nez. Par contre, à Rennes tout va bien. Les Bretons sont sixièmes avec 10 points.

Nancy 0 – 0 AJ Auxerre : Nancy au point mort

Toujours pas de victoire pour Nancy jusqu’à présent. Les Lorrains recevaient l’AJ Auxerre diamanche après-midi et le match fût triste à voir.

Le jeu fût haché avec de nombreuses fautes et des duels très physiques au milieu du terrain. Beaucoup de lacunes techniques. On plein les spectateurs du stade Marcel Picot…

Rien à ajouter à part que Nancy est 18e, avec deux points et qu’Auxerre est dixième avec seulement six points.

Montpellier 1 – 0 Nice : Montpellier, héros !

Les Héraultais, en tête avant le début de cette cinquième journée, avaient été doublé par Lyon qui s’était imposé samedi soir. Mais les joueurs de René Girard ont su se mobiliser pour s’imposer dimanche après-midi et reprendre leur dû.

En première mi-temps les débats étaient assez équilibré. Mouniet et Meriem inquiétaient Jourden à la 18e et à la 30e. Mais c’est, en deuxième mi-temps, après l’entrée en jeu de Camara que la rencontre va basculer.

Sur un ballon mal repoussé par la défense niçoise, l’attaquant montpellierain ouvrait le score grâce à une frappe magnifique du gauche, dans la lucarne d’Ospina, à la 74e.

Montpellier reprend donc la tête avec 12 points. Pour Nice, c’est toujours la 19e position avec deux petits points.

PSG 1 – O Brest : Pastore régale les spectateurs

L’Argentin Pastore jouait, dimanche soir, son première match en tant que titulaire sous ses nouvelles couleurs du PSG, en championnat. Et ce qu’on peut dire, c’est qu’il n’a pas déçu les spectateurs du Parc des Prince.

Si les Parisiens ont dominé la rencontre, leurs adversaires brestois étaient dangereux à plusieurs reprises en contre. A la 20e, un tir rasant de Poyet obligeait Sirigu à se détendre pour préserver le score.

Et Pastrore, très en jambe et techniquement à l’aise, sollicitait le portier breton, de la même manière, à la 24e. Par la suite, il régalait à plusieurs reprises les fans du PSG par ses gestes techniques. Mais ce n’est qu’à la 68e que lesPparisiens parvinrent à trouver la faille.

Ménez accélérait comme il sait si bien le faire et servait Pastore, à l’entrée de la surface. Ce dernier reprenait, trompait Elana et libérait ses supporters.

Bonne opération pour les Parisiens qui remontent à la quatrième place avec 10 points. Les Brestois sont, eux, seizième avec 4 points.