Archives Mensuelles: décembre 2012

Le top 5 des articles en 2012


Bonjour à tous, la fin de l’année approche à très grand pas , vous préparez déjà le passage à la nouvelle année. En attendant, on vous propose une petite récap’ ! Le top 5 des articles qui ont le mieux marché sur Football Anatomy pour cette deuxième année.  Nous vous remercions d’avoir été fidèle tout au long de l’année et bien sur on repart pour une troisième année !

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Top and the Flop (épisode 18)


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Tu prépares ton réveillon de noël, ta dinde est en train de cuire? Et bien tu as juste le temps de lire ton Top and the Flop ! Mais n’oublie pas pour noël un Top and the Flop c’est sympa aussi en cadeau de dernière minute.
Allez c’est parti !

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Top 5 matchs de légendes: Paris Saint-Germain


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Le football regorge de matchs légendaires, de moments hors du temps, de retournements de situations exceptionnels, bref d’instants magiques qui font que le football est le sport numéro un dans le monde. Aujourd’hui nous avons décidé de vous faire un top 5 des matchs de légende du Paris Saint-Germain, un club qui malgré son jeune âge a déjà une histoire dignes des plus grands clubs et nombres de matchs déjà gravés dans nos mémoires.

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Ligue 1 : les stats marquantes de la 18e journée


Certaines rencontres étaient chiantes, mais, dans l’ensemble, cette 18e journée de Ligue 1 a tenu ses promesses. En tout cas en termes de buts marqués. Avec 26 pions (2,6 par match), elle se situe légèrement au-dessus de la moyenne observée depuis le début de la saison 2012-2013 (2,54 buts par match).

Mais ce qu’il faut avant tout retenir de cette journée, c’est qu’à son issue, les 3 premières équipes du championnat (PSG, OL et OM) ont toutes le même nombre de points (35). A une semaine de la moitié de la saison, cette situation est assez exceptionnelle et promet un beau suspense pour le reste de l’année.

Ces 3 clubs affichent une moyenne de près de 2 points engrangés lors de chaque rencontre. Pas mal. Ils dominent également bon nombre de catégories statistiques. L’OM est ainsi leader en termes de victoires (11), PSG en termes de buts marqués (33) suivi de lyon (30) et les Parisiens sont également la meilleure défense du championnat (12 buts encaissés).

L’OGNC enchaîne

Du côté des performances collectives marquantes de cette 18e journée, il faut noter le 16e match consécutif où l’OGC Nice (OGCN) est parvenu à inscrire au moins un but. Une série que les Azuréens n’avait pas enregistrée depuis la saison 1975/1976. En s’imposant contre Evian-Thonon-Gaillard (ETG) samedi (3-2), Nice signe sa 5e victoire consécutive à domicile. Il s’agit de la plus longue série en Ligue 1 cette saison.

Le Stade Brestois 29 parvient, quant à lui, à obtenir sa 1e victoire à l’extérieur de la saison en venant à bout (1-2) du FC Sochaux Montbéliard (FCSM). Au cours de leurs 29 dernières rencontres jouées loin de leurs terres, les Bretons n’en ont remportées que 2. Ils ont perdu 16 fois et obtenu 11 résultats nuls.

De son côté, l’ES Troyes Aube-Champagne (ESTAC) est venu à bout de l’AC Ajaccio (3-2) et enregistre ainsi sa 2e victoire de la saison. La 2e à domicile pour les joueurs de Jean-Marc Furlan. Un succès qui arrive après une série noire de 8 journées sans parvenir à prendre les 3 points (4 nuls et 4 défaites) en Ligue 1. En 5 matchs joués face aux Corses, l’ESTAC remporte ainsi sa 4e victoire.

Ferret et Gignac puissance 6

Pour les performances individuelles, il faut retenir que Julien Ferret a marqué son 6e but de la saison lors de la victoire du Stade Rennais FC (SRFC) contre Valenciennes (2-0). Le milieu de terrain n’avait encore jamais atteint ce total en ligue 1. Au cours de cette rencontre, il a également délivré sa 1ère passe décisive de la saison.

Autre joueur en forme en ce moment : Dario Cvitanich. Le buteur de l’OGCN est irrésistible en ce moment et passe un palier supplémentaire en ligue 1 en inscrivant son 1er doublé lors de cette 18e journée. En 15 matchs joués parmi l’élite du championnat de France, l’avant-cente totalise déjà 10 buts. Unscore qu’un attaquant niçois n’avait jamais compté avant la trêve depuis que le club est remonté en Ligue 1 en 2002/2003. Par ailleurs, aucun Niçois n’a atteint ce total en une saison complète depuis 2 ans.

Pour finir, un mot sur un revenant : André-Pierre Gignac. L’attaquant de l’OM a inscrit son 6e but de la saison contre le Toulouse Football Club (TFC), son ancien club, lors de la victoire de son équipe (0-1). Le natif de Martigues n’avait pas marqué depuis son doublé face au PSG lors de la 8e journée. Il faut dire que, contre le TFC, Gignac n’a pas ménagé ses efforts. Il n’est entré en jeu qu’à la mi-temps mais à la fin de la rencontre, il était le joueur qui avait le plus tiré et cadré à égalité avec André Ayew (3 frappes, 2 cadrées). Mais bon, lui, il a planté et il a pas manqué un penalty…

Top and the Flop (épisode 17)


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Qu’est-ce qu’il y a, t’es ronchon ? Il fait froid dehors ? Tu as du mal à récupérer de ta soirée du week-end ? Bref’, tu n’avais pas envie d’aller au boulot aujourd’hui.
Allez détends-toi, prends ta tisane et grâce à Football Anatomy tu auras une raison d’aller te la raconter demain devant tes collègues autour de la machine à café.

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OGC Nice, la remontée fantastique

Mené rapidement deux buts à zéro à domicile, l’OGC Nice ne s’est pas laissé abattre et a su revenir dans la rencontre grâce à son meneur de jeu Valentin Eysseric très en forme sur ce match, notamment sur le but de l’égalisation mais aussi grâce à son buteur argentin Dario Citanich auteur de deux buts dont un sublime lob sur Bertrand Laquait. Ainsi, « Cvitanice » porte son total à dix réalisations en Ligue 1 pour quinze apparitions et en profite pour monter sur la troisième marche du podium au classement des buteurs. Mais si l’ancien attaquant de Boca et l’ancien monégasque se sont illustrés, un autre fait est venu éclipsé sa performance. En effet dans ce match très largement dominé par les niçois, ces derniers ne doivent leur victoire qu’au petit Neal Maupay, 16 ans et quatre mois, qui marque son premier but dans le championnat de France et rentre dans l’histoire comme le deuxième plus jeune meilleur buteur de Ligue 1. En tout cas, l’OGC Nice reste dans la continuité de son premier trimestre (Voir article : Nice : le bilan, après un trimestre de Claude Puel).

La vieille dame réalise la bonne opération
Après la défaite de l’Inter Milan sur le terrain de la Lazio Rome, la Juventus Turin avait l’occasion de creuser l’écart sur son dauphin. Et les bianconeri se sont pas privés de le faire ce dimanche à 15h – les clubs de Ligue 1 peuvent en prendre de la graine – avec une large victoire face à l’Atalanta Bergame. Trente minutes auront suffit au club entraîné par Antonio Conte pour plier la rencontre : une ouverture du score rapide de Mirko Vucinic (2ème minute), un bijou sur coup-franc de la part du mestro Andrea Pirlo et une frappe lointaine de Claudio Marchisio. Fort d’une belle victoire, les tifosi de la Juventus ont regardé le SSC Napoli raté l’occasion de prendre la deuxième place de Serie A et ainsi rester au contact de la Juventus. Rapidement mené au score, les joueurs du SSC Napoli ont cru avoir fait le plus dur en ayant pris l’avantage à la 70ème minute par l’intermédiaire d’ Edinson « El Matador » Cavani. Mais les napolitains vont craquer en fin de match en concédant deux buts en l’espace de trois minutes (Napoli 2-3 Bologna). La Juventus, qui n’en demandait pas tant, possède sept points d’avance sur son dauphin l’Inter Milan.

Le FC Nantes, quoi de neuf ?
Après le faux pas à domicile de la part de l’AS Monaco face au Nîmes Olympique, le FC Nantes était co-leader de Ligue 2 ex-aequo avec le club azuréen et avait donc un bon coup à jouer dans ce choc de la 18ème journée face au 3ème le SM Caen. Les canaris emmené par un grand Lucas Deaux n’ont pas tremblé. Rapidement mené au score, le FC Nantes a su trouver les ressources pour s’imposer devant son public en prenant l’avantage juste avant la mi-temps par l’intermédiaire de ses défenseurs Issa Cissokho et Gabrien Cichero. Ainsi le FC Nantes récolte le fruit de ses performances affichés depuis quelques semaines en affichant une série d’invincibilité de neuf matchs consécutifs en Ligue 2.

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Le Real Madrid et Mourinho abdiquent
Seize. C’est le nombre de points qui sépare le Real Madrid au leader de la Liga c’est-à-dire le FC Barcelone, son rival. À vingt-deux journées de la fin, José Mourinho semble avoir mis une croix sur la course victoire finale en championnat: « Le titre me parait impossible ». Le Real Madrid et son entraineur portugais souffrent cette saison : 2ème de sa poule en Champion’s League, 3ème en Liga. Le match d’aujourd’hui face à l’Espanyol Barcelone n’en a été que le reflet. Après avoir été surpris à la demi-heure de jeu par Sergio Garcia, le Real Madrid a su réagir juste avant la mi-temps puis au retour des vestiaires par l’intermédiaire de son côté gauche lusitain Ronaldo-Coentrao. Malheureusement pour les Merengue, un cafouillage en fin de match a permis à Juan Albin et son équipe d’arracher le point du match nul à Santiago Bernabeu. Un bien triste week-end pour le Real Madrid,, ce n’est pas de cette manière qu’ils vont réussir à faire taire les rumeurs de transferts qui circulent depuis quelques semaines.

Rémi Garde a été Jean Fernandizé
Loué pour sa philosophie de jeu portée sur l’offensive, l’Olympique Lyonnais est malheureusement apparu sur la pelouse du Parc des Princes telle une victime face à son bourreau. En effet, privé de plusieurs de ses titulaires habituels (Dabo, Grenier, Gourcuff, Lacazette) c’est avec un 5-3-2 inédit que Rémi Garde s’est présenté face au 4-4-2 de Carlo Ancelotti, surement le contrecoup du match de mercredi face à Jean Fernandez. Véritables aveux de faiblesse, le changement tactique n’est si ubuesque aux premiers abords. L’Olympique Lyonnais n’est pas et ne sera pas la seule équipe à venir avec son bunker du côté de la Porte d’Auteuil. Mais éloigner Michel Bastos de la zone de vérité et mettre Anthony Reveillère – diminué et toujours incertain à une petite heure du coup d’envoi – seul sur son côté droit ne s’est pas avéré judicieux. Si l’Olympique Lyonnais a bien su faire circuler le ballon en début de rencontre avec un poteau de Lisandro Lopez à la clé, petit à petit le Paris SG a pris l’ascendant jusqu’à avoir un contrôle quasi parfait de la rencontre face à des Lyonnais amorphes après l’ouverture du score de l’ancien Stéphanois Blaise Matuidi. Et c’est le moins que l’on puisse dire avec six occasions du côté parisien contre une seule côté Lyonnais (le poteau de Lisandro Lopez). Au final, l’Olympique Lyonnais perd sa place de leader sans avoir donné l’impression de se battre. Regrets…

Le blues de Chelsea
Défait lors du Community Shield, humilié lors de la Supercoupe d’Europe, distancé en championnat, éliminé de la Champion’s League, l’équipe de Roman Abramovitch poursuit son calvaire. Ce dimanche, au Nissan Stadium, c’est face à un Chelsea apathique que les Corinthians remportent leur deuxième Coupe du monde des Clubs sur le score d’un but à zéro (Guerrero 69e). Jamais, ou presque, les coéquipiers de Fernando Torres ne se sont montrés à leur avantage offensivement et défensivement les blues ont multiplié les erreurs et les approximations. L’unique but du match résume presque à lui seul les difficultés défensives de Chelsea. La situation de Rafael Benitez, déjà en mauvaise posture, se complique de plus en plus après cette contre-performance.

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Et maintenant, pendant 3 minutes de légèreté.
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Faut-il supprimer l’Europa League ?


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La League Europa ou Europa league (ex coupe de l’UEFA) si souvent considérée comme une coupe sans intérêt dans notre pays. Reste tout de même une coupe Europe avec un beau palmarès sur lequel figure des prestigieux clubs tel que le FC Porto, la Juventus, l’Inter,  le Real Madrid, Naples et j’en passe. Mais selon certains cette coupe n’a pas lieu d’exister. Rappelons que ce sont les mêmes qui sont supporter du Real Madrid et de Barcelone en même temps. Et donc à travers cet article je vais vous rappeler les différentes utilités de cette coupe.

Nous sommes d’accord une coupe d’Europe peu importe laquelle, est prestigieuse dans un palmarès. Mais quand chaque année en Champion’s League les mêmes clubs (6 ou 7) rivalises pour la victoire finale, il est bien difficile pour un club au budget plus « modeste » de pouvoir lutter et de réaliser une bonne performance dans cette compétition. C’est donc  dans ce contexte que l’existence de la League Europa se justifie, cette coupe permet à nombres de bon clubs d’exister sur la scène européenne. Prenons l’exemple des deux finalistes de l’édition précédente, l’Athlético Madrid et l’Athletic Bilbao. Deux bons clubs de Liga Espagnol mais qui en Ligue des champions l’an passé n’aurait que difficilement passé le stade des 8ème ou  quart de finale.  Deuxième exemple de club encore plus modeste qui est Braga en 2011, ils avaient réussi à se hisser elle aussi jusqu’en finale avec seulement 17 millions d’euros de budget à sa disposition. Mais cette coupe permet aussi de révéler des équipes de championnat mineur dont le coefficient UEFA ne permet que difficilement l’accès à la Champion’s League ou sinon à travers de multiple tour préliminaire.  Dans la dernière édition de la League Europa des clubs comme le Legia Varsovie (Pologne), Red Bull Salzbourg (Autriche) ou Wisła Cracovie (Pologne) ont réussi à se hisser jusqu’en 16ème de finale. Certains vont m’opposer à tort l’argument du niveau très faible des clubs qui y participent et donc d’une coupe dénué d’intérêt. Pour simple argument le Red Bull Salzbourg était dans la poule du PSG l’an dernier et n’avait pas absolument pas démérité sa présence à l’étape supérieure de cette compétition.

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Si on devait établir un niveau de hiérarchie entre les différentes compétitions auquel peut participer un club l’ordre serait le suivant : Championnat, Europa League,  Champion’s League. En suivant cet ordre une équipe sera en phase de progression, un parcourt en Europa League est un très bon moyen d’aguerrir de jeune joueur, de les faire progresser plus rapidement, pour tous les autres d’engranger une expérience européenne et pour l’ensemble de forger un véritable groupe. Mais aussi d’ajouter peut-être une ligne à leur palmarès. Cette compétition est un excellent tremplin pour progresser et ainsi atteindre les hautes sphères européennes c’est l’instar de Porto en 2003 qui remporta la coupe de l’UEFA à l’époque sous la houlette de José Mourinho et qui sous la même houlette l’année suivante remporte la Champion’s League. Pareil pour le Chakhtar Donetsk qui remporte la compétition en 2009 et qui les années suivantes réalise de bons parcours en Champion’s League. Mais actuellement l’élément de progression le plus frappant dans cette compétition est sans doute le Colombien Ramadel Falcao qui possède en deux participations 2 victoires. Une avec Porto en 2011 et une avec l’Athletico Madrid cette année, ce joueur d’édition en édition progresse, ce façonne, prend de l’expérience. Et en l’espace de 2 saisons et demie est devenu un phénomène mondial et un attaquant bon dans tous les domaines. L’Europa League a fait naitre des équipes, a éclos d’entraineurs phénoménaux ou pleins d’avenir (Mourinho, Diego Simeone,…) et joueur qui maintenant sont de l’élite du football mondial.

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 Mais après avoir détaillé son utilité, il faut expliquer pourquoi la France est le seul pays à se poser cette question. En France l’Europa League n’est considérée que comme une sous coupe Europe qui ne vaut même pas la peine d’être joué. Je prends pour exemple les équipes de ligue 1 qui chaque année aligne l’équipe B en poule et se font sortir piteusement comme Toulouse, Rennes, Montpellier, Bordeaux (hormis cette saison). Quel est l’intérêt de battre pour se qualifier en coupe Europe toute la saison et laisser filer derrière pour pouvoir ce requalifié l’année d’après ? Cette mentalité est inutile et dénuée de toute logique, car en plus de faire baisser le coefficient UEFA Français (contrairement au club Portugais, Allemand, Espagnol qui joue à fond cette compétition et qui font grimper leur coefficient)  tu ne touches presque pas d’argent à part si tu essaies de jouer les phases finales ce qui est l’objectif principal des clubs Français qui joue là Champion’s League donc autant jouer l’Europa League. Mais paradoxalement plus les clubs Français délaisserons cette compétition pour espérer jouer les places qualificatives à la ligue des champions et ce feront fessé l’année d’après plus le coefficient UEFA baissera et donc par conséquent le nombre de places qualificatives pour la ligue des champions aussi. Ce qui aura pour conséquence un nombre encore plus important de places en Europa League distribuée. Le plus drôle dans tout ça c’est qu’aucune équipe Française mise à part le PSG n’aurait le niveau pour gagner une Champion’s League. Alors que pour une League Europa le challenge n’en serait que d’autant plus jouable. Si toutes ses équipes avaient joué auparavant cette compétition à fond à l’heure d’aujourd’hui des équipes comme Lille ou Rennes aurait pu réaliser de bon voir d’excellent parcours. Mais non l’Europa League ce n’est pas assez prestigieux pour le football Français qui préfère passer pour des peintres en Champion’s League à ce prendre des fessés (cf Marseille, Lille, Montpellier…). Je rappellerais tout simplement que la League Europa n’a jamais été remportée par un club Français. Espérons que cette au moins Lyon et Bordeaux nous gratifie d’un beau parcourt dans cette compétition puisqu’ils ont indiqué qu’il la jouerait à fond.

Au final, la League Europa est une compétition de rang qui vaut le coup d’être joué par les clubs qui n’ont pas les moyens de rivaliser en Champion’s League. Il est donc hors de question de supprimer cette coupe d’europe. Supprimé la League Europa est d’ailleurs une idée complètement saugrenue et bien Française. Qui devrait d’abord regarder l’état du football Français en coupe Europe plutôt que de proposer de telles énormités.

Top and the Flop (épisode 16)


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Tu le sais, tu l’attendais… On est lundi et le lundi c’est ton « Top and the Flop » où encense ou défonce les différentes performances ou actualités de la semaine passée. Coupe ton téléphone, bouche-toi les oreilles, enferme-toi dans un bunker et c’est parti !

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Falcao puissance 5

Auteur d’un quintuplé hier lors de la victoire de son équipe l’Athlético Madrid sur son terrain face au Deportivo 6-1. Ramadel Falcao a crevé l’écran. Il comptabilise en fait ou à vrai dire. »>actuellement 16 buts en 14 matchs de liga ce qui est une véritable performance. Il pousse son équipe à bout de bras ce qui explique l’actuel 2ème place de l’Athletico. Il ne devrait d’ailleurs ne pas rester encore très longtemps chez ces derniers. Car ce n’est plus le club de l’Athletico qui décidera d’accepter ou non une offre de transfert du joueur. Mais plutôt l’organisme d’emprunt qui avait aidé à son achat. Une affaire qui ne manquera pas de nous tenir en haleine durant le mercato d’hiver.

Le PSG enfin relancé en 4-2-2-2 ?
Enfin une bonne semaine pour le PSG après un mois de novembre compliqué (3 défaites en championnats et l’élimination en quart de coupe de ligue). Une victoire de rang au Parc contre Porto 2-1 en Champion’s League et le carton de samedi contre Evian 4-0 toujours au parc. Mais outre le score de ces deux rencontres, c’est surtout la manière qu’il faut retenir.  Sur le terrain on a vu un collectif, des buts non pas sur des actions individuelles, mais encore une fois avec un collectif. Une envie dans découdre et un nouveau schéma tactique (4-2-2-2) qui ont permis aux Parisiens de montrer ce qu’ils valaient. Et donc peut-être de lancer définitivement leur saison.

Une Roma retrouvée.
4 victoires de suites pour la Roma et une 4ème place au classement, montre que l’équipe de Znedek ZEMAN a de la ressource et un potentiel offensif. Potentiel offensif composé encore et toujours de l’éternel Francesco Totti qui à 36 ans dispose toujours d’un ratio de 0,4 but par match (6 buts en 15 matchs cette saison). En tout cas, la Roma est actuellement la meilleure attaque de série A avec 38 buts en 16 matchs. Mais la Roma c’est aussi une défense laborieuse et si elle arrive à régler son secteur défensif ce qu’elle a réussi à faire c’est 4 derniers matchs. Si les Romains continus sur cette lancée la course au podium de série A ne sera pas inenvisageable.

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LOSC, entre mauvaise performance et querelle interne.

Que dire de la performance du LOSC à mi-saison… Une 11ème place en ligue 1 une 4ème en phase de poule des champions (avec à la clé quelques humiliations), un gardien qui résilie son contrat suite à des conflits en interne, une attaque défaillante, un mercato qui n’est pas franchement une réussite.  Franchement les dirigeants Lillois devraient se remettre en question après un début de saison aussi raté. Sans une remontée fantastique du LOSC dans la 2ème partie du championnat, la fin de saison du LOSC s’annonce compliquée et un grand ménage va sans doute devoir être effectué en fin de saison. Encore une fois force est de constater que la malédiction des nouveaux stades est toujours d’actualité.

L’OM se fait fesser.
Les Marseillais sont toujours 3ème de ligue 1 mais franchement leur semaine dernière valait largement sa place dans notre Top and the Flop. Encaisser 6 buts en deux matchs contre Limassol et Lorient est vraiment une grosse contre-performance de la part des Olympiens. Un match manqué en championnat peut-être excusable. Mais une fessée contre une équipe chypriote est SCANDALEUSE. Chaque année nous nous plaignons de la place de la place de la France qui baisse au niveau du coefficient UEFA. Mais avec ce genre de performance, le problème ne risque de résoudre de sitôt.

Mancini vers la sortie ?
Hier City c’est incliné dans le choc de Manchester  3-2 face à United malgré une très bonne 2ème mi-temps.  Mardi dernier City c’est incliné 1-0 contre Dortmund en champion’s league et est donc éliminé de toute compétition européenne après sa 4ème place en phase de poule. Avec 6 points de retard sur Manchester United et une élimination prématurée (encore une fois) de la ligue des champions. L’avenir du technicien italien à la tête de la formation Mancuniens devient plutôt incertain. Et ils ne seraient pas surprenants de voir ce dernier partir en fin de saison.

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Pour finir branche ton PC sur ton home cinéma. Pose toi dans ton canapé, parce que maintenant tu es parti pour 3 minutes de bonheur.
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Fair-Play financier : la crise guette les clubs professionnels français


A l’heure où la notion de « fair-play financier », chère à Michel Platini, est au centre de toutes les attentions et constitue une expression tellement à la mode qu’elle en brûle les lèvres de tous les commentateurs et journalistes sportifs spécialisés sur le football, la Ligue de Football Professionnel (LFP) dévoile des chiffres inquiétants.

Au cours de la saison 2011-2012, les comptes des clubs professionnels de Ligue 1 et de Ligue 2 ont poursuivi leur dégradation. Ainsi, selon la LFP, le déficit net cumulé des 40 clubs qui évoluent parmi l’élite du championnat a atteint 107 millions d’euros la saison dernière. A titre de comparaison, il était de 65 millions d’euros en 2010-2011.

Alors que, dans un même temps, leur chiffre d’affaires enregistre une hausse de 8,5% et s’établit à 1,349 milliard d’euros.

Inquiétudes pour la Ligue 2

La Ligue, par l’intermédiaire de son conseil d’administration qui a étudié de près les comptes annuels des équipes, ajoute que 25 clubs sont « dans le rouge » en France. Parmi eux, 9 sont en Ligue 1 et 16 en Ligue 2.

Dans le détail, la Ligue 1 affiche une perte cumulée de 60 millions d’euros, contre 46 millions d’euros en 2010-2011, pour un chiffre d’affaires de 1,135 milliard d’euros. Du côté de la Ligue 2, le résultat net est déficitaire de 47 millions d’euros. Il l’était de seulement 19 millions d’euros la saison précédente.

Pour autant, si, à la vue de ces chiffres, la situation de la Ligue 1 ne semble pas confortable, c’est bien celle de la Ligue 2 qui inquiète vraiment les instances professionnelles. En effet, les équipes de la division inférieure auront certainement beaucoup plus de mal que leurs homologues de première division à générer de nouvelles recettes. Ces clubs n’ont, par exemple, pas la possibilité de modifier leur modèle économique à l’instar de ceux de Ligue 1 qui construisent de nouveaux stades.

Et, en se penchant un peu plus sur la situation de la Ligue 1, on constate bien que tous les clubs ne sont pas logés à la même enseigne en la matière.

Cure d’austérité vs budget illimité

Ainsi, si le budget du Paris-Saint Germain (PSG) semble illimité à l’heure actuelle, permettant au club de dépenser sans compter, grâce aux apports en provenance du Qatar, d’autres pensionnaires de Ligue 1 ont recours à une gestion beaucoup plus rigoureuse de leurs dépenses.

C’est le cas notamment de l’Olympique Lyonnais (OL) qui, depuis deux ans, a dû se séparer de quelques uns de ses meilleurs éléments. Parmi les noms qui ont fait la gloire de l’OL et ont notamment permis aux Rhodaniens de conquérir leur 7 titres consécutifs de champion de France, très peu figurent encore au sein de l’effectif lyonnais.

Mais malgré tout, cette politique d’austérité comme la qualifieraient les journalistes politiques, n’a pas forcément engendré des conséquences désastreuses sur le plan sportif puisque les ouailles de Rémi Garde sont bien installées sur la plus haute marche du podium de la Ligue 1 actuellement.

Mais, la direction d’OL Groupe espère que ses effets sur ses finances seront plus visibles. En effet, pour l’exercice 2011-2012, il fait état d’une perte de 28 millions d’euros, à peu près la même qu’en 2010-2011. Grâce à la compression de la masse salariale évoquée précédemment, le groupe espère renouer avec l’équilibre d’exploitation en 2013-2014.

Des informations qui démontrent que les ténors du championnat de France ne sont pas à l’abri des difficultés financières et que l’ombre de la banqueroute plane même sur les clubs de l’Hexagone. Mais, malgré tout, par rapport au centaines de millions d’euros de dettes cumulés par les équipes anglaises et espagnoles, la LFP précise que l’endettement du football professionnel français « demeure très raisonnable ».

Alors, faute de résultats vraiment excitants au niveau européen, les formations françaises peuvent au moins se féliciter de figurer en tête du classement des gestionnaires du football. Et rien que ça, c’est déjà pas mal !

Ligue 1 : les stats marquantes de la 15e journée


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Encore une fois, la moyenne de buts par match est en baisse à l’issue de cette 15e journée du championnat 2012-2013 de Ligue 1. En effet, les rencontres du week-end dernier ont, à nouveau, été peu prolifiques avec une moyenne de 2 pions par opposition seulement. Les attaquants des clubs français semblent entrer en hibernation.

Mais ce n’est pas le cas pour tout le monde. Puisque dans ce contexte de marasme offensif, certains avant-centres parviennent à tirer leur épingle du jeu. C’est le cas notamment de Bafetimbi Gomis. Auteur de 10 buts en 15 matchs de Ligue 1 cette saison, la Panthère est parvenue à atteindre ce total minimum tous les ans depuis l’exercice 2006-2007.

Mais il n’a jamais réussi à passer le cap aussi rapidement. C’est dire s’il a sorti les griffes en ce début de championnat ! Surtout qu’à la suite de son premier triplé face à l’Olympique de Marseille (OM) et d’un nouveau pion planté contre le Montpellier Hérault Sporting Club (MHSC) lors de la victoire lyonnaise (1-0) du samedi 1er décembre 2012, le buteur de l’Olympique Lyonnais (OL) porte son total de réalisations en Ligue 1 à 82. Il devient ainsi le 3e meilleur buteur évoluant encore en Ligue 1 cette saison derrière Peguy Luyindula (86) et Ludovic Giuly (85).

Nice, équipe en forme du moment

Du côté des performances collectives, notons en premier lieu, le 5e match consécutif de l’OGC Nice (OGCN) sans défaite. En s’imposant (2-1) contre le Paris-Saint Germain (PSG), samedi, les Aiglons enregistrent même leur 3e succès consécutif. C’est la plus longue série de victoires pour l’équipe en forme du moment depuis plus de 3 ans et 4 victoires de rang glanées entre le 24 octobre et le 22 novembre 2012.

Le Stade Rennais Football Club (SRFC) obtient, quant à lui, son 4e succès en déplacement cette saison en venant à bout (2-3), non sans difficulté, de l’ES Troyes Aube Champagne (ESTAC) dimanche. C’est la 3e victoire consécutive pour les Bretons à l’extérieur. Une performance inédite pour les Rennais depuis les 4 succès de rang enregistrés entre le 29 août et le 28 octobre 2007.

A l’inverses, l’OL cartonne à domicile cette année. Les Rhodaniens ont remporté leur 7e victoire au Stade Gerland en 8 matchs joués au cours de cet exercice 2012-2013. Ils sont ainsi leaders du classement à domicile avec 21 points pris sur 24 possibles. Meilleure attaque de Ligue 1 (28 buts) avec le Valenciennes Football Club (VAFC), l’OL est également la meilleure attaque à domicile cette saison (19 buts).

Les milieux se font remarquer

Passons aux performances individuelles avec la belle prestation de Joey Barton. Pour le victoire de l’Olympique de Marseille sur le terrain du Stade Brestois 29 (1-2), le milieu anglais a réalisé 2 passes décisives. Avec 4 tirs, il est le joueur qui a le plus tenté sa change pendant la rencontre à égalité avec son coéquipier Morgan Amalfitano.

Autre milieu de terrain à s’être distingué lors de cette 15e journée, Romain Alessandrini. Le jeune joueur du SRFC a planté son 5e but en Ligue 1 dimanche après-midi. C’est le 3e au cours des 4 derniers matchs de son club en championnat. Parmi les 22 acteurs, il est celui qui a tenté le plus de frappes au cours de la partie (4).

Enfin, un petit tour du côté de VAFC pour qui Foued Kadir a marqué le 6e but de sa saison lors de la victoire contre Reims (1-0). Il en a inscrit 4 lors des 5 dernières journées. Il devient ainsi le meilleur buteur parmi les milieux de Ligue 1. La moitié de ses pions a été plantée pendant le premier quart d’heure de la première mi-temps.

Top and the Flop (épisode 15)


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Un week-end de football particulièrement riche en rebondissements, des surprises et des équipes qui confirment leurs grandes formes, tout ça dans ton rendez-vous le plus fun du web. C’est chez Football Anatomy et nul par ailleurs.

Let’s go pour ton « Top and the Flop », ton attraction footballistique du lundi soir.

20-top

Nice comme les grands.
En début de saison, nombreux étaient les observateurs qui esquissaient un petit sourire lorsque l’on évoquait l’OGC Nice. Un groupe en pleine mutation avec l’arrivée de Claude Puel et les nombreux mouvements de joueurs. À la moitié du championnat Nice ne fait plus sourire et commence à être une équipe du championnat respecté. Une équipe qui fait son petit bonhomme de chemin avec quatre matchs consécutif sans perdre (v,n,v,v) et qui vient de faire tomber le PSG sur sa pelouse (2-1).

United fait la course en tête.
Un mi-temps de folie voilà ce que vient de vivre les Mancunien sur la pelouse de Reading actuellement dix-neuvième du championnat anglais, pas moins de sept buts en trente-quatre minutes entre les deux équipes où les locaux on menait par deux fois au score. Mais c’est finalement United qui s’imposa grâce au but de Van Persie qui permit aux joueurs de Sir Alex d’être seuls leaders du championnat trois points devant leur voisin City.

Makhachkala au sommet.
Le club de Samuel Eto’o parti de loin la saison dernière, mais avec pour objectif de gagner la ligue des champions dans les années à venir vient et sur le point de gagner déjà une partie de son pari. Car avant de lorgner sur l’Europe c’est déjà la Russie que le club du Daghestan doit conquérir. Et face au leader du CSKA Moscou les challengers on fait le boulot (2-0) pour passer premier de la « Sogaz premier liga » à la différence de buts.

21-flop

Rien ne va plus à Valence.
Le tableau se noircit de jour en jour du côté de Valence. Le club qui a avoué avoir une dette proche des 500 millions d’euros et aussi en bien mauvaise posture en championnat. Invaincu jusqu’ici dans son antre de Mestalla, les Valenciens se sont lourdement inclinaient face à la Real Sociedad (2-5) et pointe désormais à la 12ème place. Une place indigne du rang du club aux yeux du président qui a aussitôt limogé son entraineur Mauricio Pellegrino.

Nancy, la peur aux trousses.
On a longtemps hésité, pour savoir si on devait parler d’une situation si catastrophique que même Luis Fernandez ne si serais pas collé. Eh oui, car Nancy relégable depuis la quatrième journée ne prend même plus de risque face à des équipes prenables. La preuve encore ce week-end face à Evian Thonon Gaillard où l’équipe Lorraine à attaquait le match à sept défenseurs. Sûr qu’avec une compo comme ça les buts ne risquent pas de tomber du ciel….

Toulouse plus mauvais
Certains matchs du dimanche soir ne sont déjà pas fameux à regarder. Mais assister aux matchs Toulouse relève du sadomasochisme voir de l’injection létale. Encore heureux, qu’hier soir ils perdent contre une équipe de Lorient qui retrouve des couleurs et qui elle, est agréable à voir jouer. En tout cas il faudrait réellement que le diffuseur du match du dimanche soir se pose la question de l’intérêt de programmer les matchs du Téfécé sur ce créneau horaire. Mais franchement les Toulousains si vous n’avez pas envie de jouer au foot quand vous en avez les moyens et en plus de ça un dimanche soir, pitié restez chez vous.

22-bonus
Franchement que serais un bonus du Top and the Flop sans la célèbre compil des plus beaux buts de la semaine dernière?
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